Hillary Jean Young est musicien.ne, vocaliste et improvisateur.trice travaillant dans la musique expérimentale, l’opéra contemporain et la musique de chambre contemporaine. Hillary a joué avec de nombreux ensembles et collectifs, tels que Kallisti Chamber Opera, OperaQ, Red Fish Blue Fish, Quintagious!, FAWN Chamber Creative, Din of Shadows et The Happenstancers. En 2019, Hillary a obtenu son doctorat en arts musicaux (Doctor of Musical Arts) en interprétation de la musique contemporaine à l’Université de Californie – San Diego (UCSD), où iel a étudié avec la soprano primée aux Grammy Awards, Susan Narucki. En plus de son travail d’interprète, Hillary a occupé des postes de commissaire et d’administrateur.trice auprès de Continuum Contemporary Music, Paper Bag Records et Oxingale Music.
Je suis absolument ravi.e de représenter l’Ontario au sein du conseil d’administration du RCMN. Je crois profondément en la mission du RCMN et j’ai hâte de contribuer à façonner l’avenir de cette organisation. J’ai une grande admiration pour la manière dont le RCMN encourage la collaboration et la connexion à travers la musique et le son, tout en priorisant l’accessibilité, et je suis enthousiaste d’avoir l’opportunité de poursuivre et d’approfondir ce travail inestimable.
En tant que Franco-ontarien résidant en Allemagne depuis plus de dix ans, les deux solitudes qui composent mon identité linguistique et culturelle me manquent terriblement. Pour cette raison, je suis ravi de faire partie du conseil d’administration du CNMN et de pouvoir entrer en contact avec des artistes dévoués d’un océan à l’autre. De plus, j’ai hâte de partager mon savoir issu de mes expériences de travail dans un contexte majoritairement européen et de mes domaines d’expertise : les œuvres scéniques et pour jeune public (3 à 16 ans).
Thierry Tidrow (*1986, Ottawa) est un compositeur en plein essor, dont l’oeuvre englobe tant la musique instrumentale que vocale, avec une prédilection pour l’opéra. Son univers sonore accueille plusieurs mondes musicaux où explorations bruitistes, lyrisme expressionniste, pastiche et parodie forment un tout discursif et richement détaillé (Jury de Génération 2018 de l’ECM). Sa capacité à combiner audacieusement les styles, sous-tendue par une approche réfléchie des rapports entre son et texte, agit comme un révélateur de sens cachés ou en émergence. De même, son flair de dramaturge le dirige vers un mode d’expression intrinsèquement narratif imprégné de surprise et d’intrigue.
Thierry a collaboré avec de nombreux artistes à travers l’Europe et l’Amérique du Nord, parmi lesquels on peut mentionner l’Ensemble Asko-Schönberg, l’Ensemble Modern, le Quatuor Bozzini, les ensembles Continuum et Paramirabo, la chanteuse Sarah Maria Sun, le percussionniste Johannes Fischer, et la clarinettiste Heather Roche. Sa plus récente création canadienne, Entre Nous, pour Quasar quatuor de saxophones et 4 acteur.trice.s, explore ce que la langue québécoise/franco-ontarienne dit et ne dit pas sur notre passé, nos valeurs, nos traumas, nos préjugés, notre besoin d’appartenance et notre besoin de rire.
Thierry a écrit plus de dix opéras, dont plusieurs pour enfants. De 2018 à 2021, il était compositeur-en-résidence à l’opéra de Dortmund, et ses oeuvres scéniques ont été jouées dans les maisons d’opéra de Bonn, Cologne, Dresden, Darmstadt, Düsseldorf et Vienne. Thierry a reçu de nombreuses distinctions, dont le Premier Prix à l’édition inaugurale (2018) du Concours Graham Sommer (Montréal) pour son quintette à cordes Quicksilver, ainsi que le Prix du gouverneur général du Conseil des arts du Canada et le Prix Jules-Léger en 2014 pour sa pièce Au fond du Cloître Humide.
Je partage avec le CNMN un engagement personnel à développer et à soutenir les œuvres de musique nouvelle et l’expérimentation dans le domaine de la musique et du son à travers le Canada. En tant que communauté nationale d’artistes, nous avons tous.tes intérêt à multiplier les occasions d’entrer en contact et d’apprendre à connaître le travail des autres. Un réseau de musiques nouvelles est un concept passionnant et en pleine expansion.
Anju Singh est une compositrice, multi-instrumentiste, bruiteuse/artiste sonore et vidéaste basée à Vancouver. Ses œuvres basées sur le son et l’image se concentrent sur la texture, la densité et les dynamiques extrêmes. Elle utilise des instruments traditionnels, des techniques étendues ou expérimentales, du traitement électronique, des matériaux et des objets non musicaux, ainsi que des outils et des instruments fabriqués sur mesure pour expérimenter et développer ses œuvres. Un aspect essentiel de sa pratique consiste à utiliser des méthodes de déconstruction et de réanimation pour réutiliser et contextualiser des matériaux dans de nouveaux environnements compositionnels.
Anju est une artiste active et a présenté et joué son travail à travers le Canada, en Europe, au Brésil, au Mexique et aux États-Unis dans une variété d’espaces, notamment au Fylkingen à Stockholm, en Suède ; au Send + Receive Festival à Winnipeg ; au Vancouver Jazz Festival ; à la Polygon Gallery ; au New Forms Festival ; et, plus récemment, en tournée au Japon.
Je suis ravie de rejoindre le conseil d’administration du CNMN en tant que représentante de la côte ouest. La vision et la mission du RCMN correspondent tout à fait à mes pratiques d’artiste et d’administratrice d’art. Je crois que nous pouvons toujours faire mieux lorsqu’il s’agit d’élever le niveau d’équité dans les organisations artistiques et je suis ici pour faire avancer cette conversation au sein du RCMN. Je suis une grande admiratrice du travail effectué par le CNMN sur le terrain et j’ai participé au PCM Hub. J’espère travailler avec les autres membres du conseil d’administration pour développer de telles initiatives et construire de nouvelles aventures passionnantes pour notre communauté grandissante des musiques nouvelles.
Lauréate d’un prix JUNO et WCMA, la violoniste et compositrice Meredith Bates s’est parfaitement implantée dans le paysage musical canadien, à la fois en tant que collaboratrice magnanime et progressivement comme une artiste solo influente et singulière.
Installée avec reconnaissance sur les territoires non cédés des Salish de la côte à « Vancouver », la lauréate aux multiples récompenses s’est forgé une réputation à la fois pour son introspection recherchée et sa virtuosité absolue avec son instrument. Elle a passé les vingt dernières années à enregistrer et à se produire à travers le monde dans des ensembles tels que le groupe instrumental Pugs and Crows, lauréat d’un prix JUNO et Western Canadian Music, et avec la formation pop avant-chambre, Gentle Party. Elle est également impliquée dans des projets menés par des piliers de la scène vancouvéroise tels que Peggy Lee, Tony Wilson, Leah Abramson, Lan Tung, Ruby Singh, CR Avery, Joshua Zubot et Ford Pier.
Une grande partie de la constante faculté d’adaptation de Bates réside dans son engagement à rester curieuse sur le plan artistique. Elle a pris des cours privés avec tout le monde, du célèbre professeur de musique classique Philippe Djokic à l’expérimentaliste renommée Carla Kihlstedt, et elle a continué à s’impliquer dans l’expansion de son son à travers des opportunités telles que le légendaire Creative Music Workshop de feu Jerry Granelli à Halifax et par le biais de résidences dans des centres cruciaux pour l’exploration créative, notamment le Fylkingen de Stockholm, Western Front (Vancouver) et le Banff Centre.
Cet esprit de curiosité se retrouve également dans l’éventail considérable des projets artistiques de Bates. Elle est la fondatrice et directrice de Like the Mind, un sextet d’improvisatrices réputées de Vancouver et Stockholm –avec Peggy Lee, Lisa Ullén, Lisen Rylander Löve, Elisa Thorn et Emma Augustsson – et de Sound Migrations, un projet collaboratif combinant des paysages sonores électroacoustiques multicanaux avec des photographies retouchées. En 2019, Bates a fondé l’Improvised Arts Society, qui soutient tout au long de l’année les expériences et pratiques interdisciplinaires ainsi que deux festivals consacrés aux arts de la scène : le Listen, Listen Festival et le West Coast String Summit. Meredith siège également au conseil d’administration de la Seagrass Music Society et du Réseau canadien pour les musiques nouvelles et elle participe au programme Pathways du Conseil des arts de la Colombie britannique.
En 2019, Meredith a sorti son ambitieux premier album solo, le double disque If Not Now sur Phonometrograph, qui a recueilli des éloges dans les médias et une mention sur la longue liste du Prix Polaris. Son album suivant, tout aussi extensif, Tesseract, sorti en 2023, a également été salué par la critique. Stuart Derdeyn du Vancouver Sun l’a qualifié « [d’]obsédant et complètement addictif » tandis que le critique chevronné Marc Masters l’a classé parmi les meilleures parutions de musiques expérimentales sur Bandcamp en juin 2023. « Tesseract est en définitive une musique d’ambiance dans le meilleur sens du terme », a noté Masters. « Cela peut non seulement changer votre humeur actuelle, mais aussi en faire naître d’autres qui ne vous sont pas familières. C’est particulièrement vrai sur la chanson titre de 46 minutes, un collage monumental de bourdonnements et de rugissements qui pourraient être revisité à l’infini ». Tesseract a été nominé pour le meilleur album instrumental de l’année au Prix JUNO 2023.
Éric Normand est présent au c.a. car il croit au réseautage et en la capacité du milieu de la musique de mettre de l’avant des pratiques de partage des ressources et de compétences afin de favoriser l’équité et l’émancipation dans la diversité des pratiques sonores.
Éric Normand est artiste improvisateur, bassiste, compositeur et imprimeur. Il vit dans la petite ville de Rimouski (Est du Québec). Il dirige Tour de bras, un organisme voué aux musiques d’improvisation et multiplie des actions culturelles à échelles locales et globales. Il est l’un des fondateurs du Grand groupe régional d’improvisation libérée (GGRIL, 2007), un ensemble dédié à l’exploration de « compositions pour improvisateurs ».
Il a fait paraître plus de 30 albums sur des étiquettes canadiennes et étrangères et sa musique a été jouée dans différents festivals dans plus de 20 pays. À travers, Tour de Bras, Normand défend depuis 20 ans les pratiques d’improvisation et a créé un réseau international impressionnant, où l’on croise tous les centres nerveux de l’improvisation et où se déploient des co-productions avec l’Australie ou la Slovénie.
Comme bien d’autres, ma première expérience avec le RCMN a eu lieu lors d’un FORUM (2014 à Calgary, en Alberta), qui a été une merveilleuse expérience de communauté et de partage de connaissances. Je suis ravie de faire partie du conseil d’administration, parmi des collègues formidables, de contribuer au travail visant à favoriser les liens, la diversité et l’activisme.
La flûtiste Chenoa Anderson est une artiste qui vit et travaille à Amiskwaciy-wâskahikan/Edmonton. Elle a commandé et créé des dizaines de pièces solo et d’ensemble et est une improvisatrice active qui travaille avec des musiciens, des danseurs et des artistes de création parlée. Ses projets actuels incluent UltraViolet – un quatuor mixte spécialisé dans le nouveau répertoire ; Garden – œuvres multidisciplinaires situées dans son jardin en permaculture ; Mixtur avec le compositeur Ian Crutchley, interprétant un répertoire expérimental pour flûte(s) et objets/instruments/électronique trouvés ; et damn magpies, un sextet d’improvisation libre. Elle est titulaire de diplômes en interprétation de l’Université de Toronto (B.Mus.) et de l’Université de la Colombie-Britannique (M.Mus.). Le premier enregistrement solo de Chenoa Anderson, Big Flutes : Canadian Music for Alto and Bass Flutes, a été nominé pour un Western Canadian Music Award 2006. Krishna’s Flute (earsay music, 2013) propose de la musique pour flûte et électronique interactive. Ses enregistrements nouveaux incluent The Bellow Project, une collaboration entre l’artiste de création parlée Dwennimmen (Shima Aisha Robinson) et damn magpies (2021, Bandcamp), et field studies – chamber music of Emilie Cecilia LeBel (2023, Redshift Records), avec UltraViolet. En plus d’une carrière active d’interprète et d’enseignante, Chenoa est directrice générale de New Music Edmonton depuis 2012 et, en 2014, elle a été nominée pour le prix Syncrude pour l’excellence en gestion des arts lors des Prix du maire pour les arts. Lorsqu’elle ne joue pas de la flûte, Chenoa jardine, tricote, fait du vélo, du ski de fond ou lit avec un chat sur ses genoux.
Je suis heureuse et excitée de jouer un rôle en tant que membre du conseil d’administration du RCMN, car il s’agit d’un précieux bâtisseur de réseau pancanadien. Rassembler une grande variété d’artistes : musiciens, interprètes, improvisateurs, compositeurs, interprètes, travailleurs culturels, bâtisseurs de ponts et au-delà, est une mission motivante. La rencontre de ces diverses pratiques, à travers diverses pratiques culturelles et traditions, peut et va le plus souvent enrichir, libérer et rendre plus humble nos expériences individuelles. J’ai hâte de participer au travail du RCMN, visant à illustrer et à renforcer la riche diversité culturelle qui compose le paysage canadien et à contribuer au bien-être de ces communautés interconnectées.
Liberté-Anne Lymberiou est une compositrice, pianiste et chef d’orchestre de Montréal. Son processus artistique se concentre sur une vision holistique de la musique, tenant compte des traditions, de l’environnement, de la physique, du mouvement et de la spiritualité des sons avec lesquels elle s’engage dans l’instant. Son travail étant principalement influencé par la musique jazz, Liberté Anne porte une attention particulière à l’improvisation et aux structures rythmiques de la diaspora africaine, ainsi qu’aux concepts et philosophies qui entourent ces pratiques.
Liberté-Anne a commencé sa carrière en 2013 à New York, en fondant son orchestre le « Liberté Big Band », interprétant ses œuvres originales. C’est son mentor, le compositeur et pianiste Arturo O’Farrill qui l’a d’abord encouragée à poursuivre une voie de composition et de direction d’orchestre. C’est à travers ses études avec le chef percussionniste Baba Neil Clarke qu’elle commence à s’engager plus sérieusement dans les concepts d’ensemble de percussion panafricains et une vision holistique de l’art.
En 2017, elle a reconstruit le Liberté Big Band à Montréal et a poursuivi diverses performances et collaborations autoproduites à travers les styles et les formations. Entre 2017 et 2019, elle a beaucoup voyagé à Cuba pour faire des recherches et étudier avec Irian Lopez, en se concentrant sur la batterie Batà.
Les œuvres les plus récentes de Lymberiou traversent les traditions et les genres, et comprennent un opus de 50 minutes pour un orchestre de jazz de 20 musiciens, ainsi qu’un répertoire pour duos de saxophones, une chorale et des projets multidisciplinaires impliquant la danse, l’art textile et le cinéma.
Je pratique différents types de musique, à la fois nouvelle et ancienne, depuis déjà trois décennies et j’ai hâte d’échanger et de réseauter avec la prochaine génération.
Originaire de New York, Andrew a étudié à Ottawa et à Toronto et a par la suite tourné avec la Compagnie nationale d’opéra du Canada (COC), l’Orchestre du Centre national des arts (O‑CNA) et le Royal Winnipeg Ballet (RWB).
Andrew s’est produit dans de nombreuses salles, dont Open Ears Festival (Kitchener), New Music Calgary, Sound Symposium (Terre-Neuve), le Scotia Festival of Music, Ensemble Kore (Montréal), The Music Gallery (Toronto), Western Front (Vancouver) et Tonic (New York).
Miller a composé de la musique pour orchestre, de la danse, musique de chambre, le cinéma, la télévision et le théâtre.
« Miller est un superbe joueur, un maître et un inventeur créatif .….. »
‑Stephen Pedersen, The Chronicle Herald (Halifax), 10 janvier 2011
En tant que membre issue du milieu francophone Québécois, il est de plus que pertinent pour moi d’ouvrir mes horizons à des initiatives plus globale dont les portées et mandats sont tout aussi innovantes que l’objet qu’elles supportent. C’est donc emplie d’impatience et de curiosité que je me joins aujourd’hui en tant que nouvelle membre du RCMN.
Musicienne, compositrice et travailleuse culturelle engagée, Julie Richard est activement impliquée dans les scènes artistiques et musicales montréalaises depuis près de 20 ans. Trois fois diplômée en musique classique, elle est également versée dans l’interprétation vocale, le jazz, la pop, les musiques expérimentales ainsi que les musiques africaines, tsiganes, juives et créoles.
Ayant pris part à de nombreuses tournées à travers le Canada et les États-Unis, elle a participé au festival SXSW et performé internationalement en Europe de l’Est, en France et en Colombie. Parallèlement à sa pratique musicale, le cheminement interdisciplinaire de Julie l’a amenée à travailler dans les domaines de la gestion artistique, de la psychologie d’intervention ainsi qu’en recherche et animation culturelle. Elle est aussi connue pour son implication dans la programmation des festival Lux Magna et du festival Suoni per il Popolo.
Son plus récent projet Black Ark Orchestra la pousse à travailler à partir de fragments de compositions musicales créées par des musiciennes et compositrices noires ayant évolué majoritairement aux États-Unis, dans les années 1920.Le projet Black Ark a pour objectif de réhabiliter ces œuvres marginalisées de la musique classique produites par des femmes africaine-américaines. Il s’agit de retrouver, de réactualiser et de revaloriser ce qui reste de ces compositions pour qu’elles ne restent pas oubliées, pour qu’elles puissent, enfin, entrer en conversation avec l’histoire de la musique contemporaine. En composant elle ne cherche n’a pas à reconstituer avec exactitude les contours de ces compositions, il s’agit pour elle de poser un geste vivant, non-linéaire, simultanément réparateur, transformateur et créateur.
Je suis ravie d’entrer au conseil d’administration du RCMN à titre de membre ne représentant aucune région. Au cours de ma vie de compositrice, j’ai résidé dans plusieurs pays : Canada, États-Unis, Pays-Bas, Finlande, Allemagne et maintenant l’Écosse. Même si chacun de ces pays recèle des musiciens fantastiques qui ont de fabuleuses choses musicales à offrir, le temps que j’ai passé à l’extérieur du Canada m’a permis de comprendre à quel point la communauté canadienne des musiques nouvelles est unique en son genre. On y trouve une telle diversité d’approches, un si grand nombre de réseaux régionaux et nationaux forts et utiles, et surtout un réel sentiment d’être tous embarqués dans la même aventure. Chaque chose utile à l’un d’entre nous peut l’être à tous.
À titre de membre du CA ne représentant pas une région, je m’intéresse aux moyens d’entretenir des liens entre les compositeurs et les interprètes canadiens résidant au Canada et ceux à l’étranger, afin de faire connaître les œuvres canadiennes dans le monde et d’encourager les collaborations internationales. Je m’intéresse aussi aux moyens permettant d’encourager les ensembles, les séries de concerts et les festivals à programmer à inclure, dans leur programmation, de nouvelles œuvres qui reflètent la diversité des compositeurs canadiens (sexe, origine ethnique, région, style, etc.). J’œuvrerai au RCMN au nom de tous les membres de la communauté des musiques nouvelles canadiennes.
On a dit de la musique d’Emily Doolittle qu’elle est « magistrale » (Musical Toronto), « éloquente et efficace » (The Whole Note) et qu’elle « va droit au cœur » (The Whole Note). Mme Doolittle a reçu des commandes de l’Orchestre Métropolitain, Tafelmusik, Symphony Nova Scotia et de l’Ensemble contemporain de Montréal. Elle a reçu des bourses de Sorel Organization, du Conseil des arts du Canada, d’Opera America et de la Fulbright Foundation. Parmi ces projets récents, mentionnons : Seal Songs, une pièce de 30 minutes inspirée de la selkie, un personnage du folklore gaélique (il s’agit d’une commande de Paragon et du Voice Factory Youth Choir de Glasgow) ; un concerto pour le violoniste Calvin Dyck et le Vancouver Island Symphony ; et une résidence de composition de cinq mois au Max Planck Institute for Ornithology à Seewiesen, en Allemagne. Originaire de la Nouvelle-Écosse (Canada), Mme Doolittle a étudié à la Dalhousie University, à l’Indiana University, au Koninklijk Conservatorium et à Princeton. De 2008 à 2015, elle a fait partie du corps professoral du Cornish College of the Arts à Seattle. Elle vit actuellement à Glasgow, en Écosse.
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